Jaël Ol'Wyn

Jaël Ven 25 Fév - 15:16

[Bon, j'ai mis un peu de temps pour la faire cette présentation. Le principal c'est qu'elle soit finit. Allez, finit de discuter, passons-y ...]

Tous les « », c’est Jaël qui le dit, elle a une fâcheuse tendance à me couper la parole.

Nom : Ol’Wyn
Prénom : Jaël
Surnom : Zois’O (comme les petites choses qui volent, merci je suis au courant)
Âge : 21 ans qu’elle gribouille sur ses carnets.
Race : « Humaine. Enfin, c’est ce qu’on m’a toujours dit. »
Sexe : Féminin (inutile de vérifier).
Nationalité : (Où êtes-vous né sur Valephore ?) « Je ne suis pas née sur Valephore. »
Couleurs (Favorites): « Vert comme les feuilles, blanc comme les autres feuilles. »
Apparence : (À quoi ressemblez-vous ? Avez-vous des signes physiques particuliers ? Décrivez votre personnage avec 2 lignes mimum !) Elle a toujours sur elle une besace contenant son minimum (ou son maximum) d’écriture, elle parcourt le monde armée de ses rêves et de son inaliénable ironie, elle porte une coiffure (magnifique cascade de cheveux bruns) variant selon son humeur ou l’heure l’où elle se lève, et la couleur de ses habit varie du blanc au vert en passant par le marron clair.
Histoire : (15 lignes) « Je n’oublierai jamais ce jour parce que … parce que c’est comme ça. Personne n’aurait put oublier un jour pareil. »
« Salut P’pa ! »
Jaël referma la porte de l’atelier derrière elle, dévala les huit marches qui la séparait du sol et rejoignit son père occupé à recoudre une semelle.
« Où étais-tu donc partie galopée ? demanda t-il en remontant ses lunettes sur son nez. Jaël sourit en voyant l’air sérieux que cela lui donnait. Rien-à-voir avec son caractère.
- Au port.
- Humm, comme d’habitude. » répondit-il sur le même ton badin.
Le cordonnier se concentra sur son travail et Jaël repartit dans ses pensées.
« Papa ?
- Oui ?
- Il faut que je te parle.
- Je t’écoute.
- Je …, elle hésita, … non, rien. »
L’expression déconfite de Jaël témoignait de son malaise. Son père voyait bien que quelque chose la tracassait. Quelque chose de grave. Surtout pour arracher une mine pareille à Jaël. Il lui jeta un regard étonné mais n’insista pas.

A l’heure du repas, son père lui prit la main et la regarda dans les yeux. Un geste paternel. Apaisant.
« Parles, ma fille. » lui dit-il
Une boule monta dans sa gorge. Elle s’apprêtait à annoncer à son père la déclaration qu’elle préparait depuis plusieurs mois. Elle ne put néanmoins s’empêcher de bégayer bêtement.
« Je … Je veux partir. »
Droit au but. Elle devait y être allée un peux fort car son père eut un moment de stupéfaction.
« Quand ? demanda t-il à bout de souffle comme s’il venait de relier la forêt et le village au pas de course.
- Maintenant. » murmura t-elle comme pour atténuer le poids de la l’écrasante déclaration.
[…]
« Avec tes fonds, tu n’iras pas bien loin, dit t-il avec une pointe d’ironie, plus pour cacher ses larmes naissantes que pour faire rire, prends ça. »
Il lui tendit la bourse en cuire plusieurs fois recousue et dont les multiples raccommodements attestaient de son ancienneté. En n’en restait pas pour le moins résistante. Jaël la prit avec une lueur émerveillée dans les yeux. La relique. Richesse inestimable. Possession qui se transmettait de parent à enfant depuis … depuis longtemps. Tradition.
« Merci » souffla t-elle
[…]
Il lui avait offert cette bourse, comme on offre une rose, un cadeau du cœur.
[…]
« Merci de m’offrir ma liberté.
- Je ne te l’offre pas, je te la rends. »
Ses yeux s’étaient embués de larmes et … enfin bref, il n’y a aucun intérêt à s’attarder sur ce point. D’ailleurs, pour comprendre ça il faut d’abord revenir en arrière. Allons-y, Flash back.

l’an 203, Eleär, Lulary

A l’époque je vivais encore au village. Petit ensemble d’habitations perdues au milieu de vallées, montagnes, lacs … mais surtout, longeant la côte Est de Syarön. Pas si pommé que ça finalement.
[…]
J’avais un père adoptif savetier.
- Savequoi ?
- Sa-ve-tier. C’est un gars qui fait des chaussures.
Donc il était savetier. Au village, on l’appelait Mains-de-Cuire pour sa dextérité et son aisance à manier le cuire. […]
Ce qu'il/elle aime : Ecouter le vent, sculpter les nuages, écrire tout ce qui passe à portée de son imagination, dessiner des cartes, dessiner tout court, voyager, découvrir, apprendre, vivre quoi !
Ce qu'il/elle n'aime pas : Se faire mordre par un vampire (c’est très désagréable, vous savez), passer pour une fille passive (« rêveuse, je veux bien, mais passive ! Il faut vraiment être sourd-muet-aveugle pour ne pas décerner mon caractères »), perdre ses crayons (c’est fréquent mais ça l’énerve), les gens qui râlent tout le temps (« La vie est belle profitons-en. »), les insectes qui passent leur temps à la piquer (« Comme s’ils n’avaient que ça à faire »), …
Caractère : (5 lignes minimum !) Passionnée par la vie et tout ce qu’elle contient avec un caractère calqué sur celui de son père adoptif : forgé dans du béton armé aux alliages de fer et chargé d’optimisme. Attention, ça ne veux pas dire qu’elle est tout le temps de bonne humeur (croire cela risquerait de vous jouer des tours). Elle mitraille tous ceux qu’elle croise avec son humour-ironie (préparez vos gilets pare-balles, ça fait beaucoup de trous), et a une fâcheuse tendance à s’attirer des ennuis … comme les moustiques ! Dynamisme mais aussi calme. Une de ses activités des plus fréquentes est de se faire apprendre la sagesse par un vieil arbre, ou de dessiner le vent (bizarre, non ? – Oui !).
Défauts : - elle délire parfois à un tel point qu’elle pourrait passer pour une folle (mais elle est folle !)
- elle peut se mettre très TRES en colère si vous arrivez à l’énerver (et ce n’est pas souvent)
- elle a tendance à couper la parole assez souvent (parlez-en à son père et voyez sa réaction)
- elle ne peut s’empêcher de chercher des explications sur tout ce qui l’entoure (y comprit sur tout ce qui ne l’entoure pas) et finit souvent sans réponses … enfin, sans réponses logiques.
Famille : Guilmain Ol’Wyn est son père adoptif et ses parents sont deux inconnus qu’elle s’entête à ne pas chercher.
Travail : Cartographe/écrivain.
Activité (favorite) : Courir après les clochettes des sous-bois (en admettant que ça existe).
Pouvoirs : Parler aux arbres ; rêver (« n’est-ce pas déjà magnifique comme pouvoir ? »)
Phobie : « Je n’ai peur de rien. »
Arme(s) : Un cahier, un stylo et des cartes géographiques.
Votre but à Valephore : « Tout et n’importe quoi, pourvu que j’en profite ! »
Votre penchant : Neu(neu)tre